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PrÉSentation

  • : La Taverne des Trois Petits Trolls
  • : Ressources documentaires pour amateurs de littérature Fantasy et écrivains en devenir...
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Bien le bonjour !

Pourquoi ce blog me direz-vous ? Et bien il fait suite à toute une série de recherches que j'ai entreprise dans le cadre de la rédaction d'un manuscrit. Oui oui un manuscrit que je suis en train d'écrire... manuscrit ayant pour objet la littérature Fantasy (comme vous devez vous en douter)... J'ai commencé à l'écrire il y a bien longtemps déjà... et je ne doute pas que j'achèverai ce travail dans bien longtemps également... caressant secrétement le doux rêve de me faire, un jour, publier.

Vous trouverez ici des documents et des informations glânés ça et là au gré de mes errances sur le net. En espérant que vous puissiez y apprendre des choses intéressantes...

N'hésitez pas à signaler votre passage par un petit commentaire, et si vous êtes vous aussi des auteurs en devenir alors je serai enchanté d'échanger avec vous !

Je vous souhaite à présent une agréable visite... !

Eussé

23 mars 2007 5 23 /03 /mars /2007 00:00

Trois mois... c'est le temps que j'ai mis à terminer mon premier chapitre... chaque mot est pensé, réfléchi, chaque phrase a été travaillée et retravaillée... il fallait que tout s'emboite, s'assemble pour produire une mécanique parfaite, que dis-je, une parfaite mécanique ! En vérité j'ai mis plus de trois mois car j'ai écrit le premier chapitre il y a bien longtemps. Trois mois fut le temps que j'ai mis à le réécrire, à le corriger, à le travailler, à le façonner... il se devait d'être parfait !

Pourquoi tant d'acharnement ? Bon tout d'abord je n'ai pas été si acharné, non loin de moi l'idée de l'écrivain psychopathe !!... En fait je laissais le chapitre, puis j'y revenais, de temps en temps je le relisais, je le laissais reposer quelques jours à nouveau, puis je le relisais et j'apportais quelques modifications... et tout ça a duré trois mois... trois mois pour produire un chapitre parfait. Du moins ai-je la prétention de le croire !... Bien alors pourquoi tant de temps sur ce premier chapitre (en espérant que j'en passe pas autant à corriger les 20 autres déjà écrits...)... et bien pour que le jour où il atterisse dans les mains d'un éditeur il ne soit pas promptement jeté aux orties... En effet, les éditeurs ayant la réputation de lire trois lignes et de se faire une idée d'un livre à partir de ça... Aussi partant de ce constat, je me suis dis qu'il fallait que mes trois premières lignes soient donc PARFAITES et donnent envie de lire la suite... j'espère que ce sera le cas !! Aide toi... le ciel t'aidera !

 

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21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 00:00

L'exposition "Des Trolls, des ogres et des géants dans l'illustration des contes populaires nordiques", a été réalisée en 2004 par Enrica Hallvarsson, bibliothécaire déléguée (Suède) avec la collaboration de Régine Hue, bibliothécaire à la Nordique. On peut la découvrir sous forme virtuelle à l'adresse ci-dessous :

http://www-bsg.univ-paris1.fr/nordique/expotroll.htm

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 22:52

Le salon du livre 2007 - du 23 au 27 mars à Paris !

http://www.salondulivreparis.com/

Gratuit pour les étudiants (5 €uros pour les autres)...

 Je vais aller 'y faire un tour dimanche !

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 00:00

Ils sont forts quand même ces ardéchois.... !

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STAGE D'INITIATION A LA LANGUE ELFIQUE ET A SA CALLIGRAPHIE

Samedi 28 & Dimanche 29 Avril 2007.

Edouard Kloczco sera le maître de stage pour la partie initiation à la langue Elfique ; il est Président de la « Faculté Elfique » Docteur ès lettres Hobbites de l’American Tolkien Society ; Auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. Doctorant en linguistique à l’Université d’Aix-en-Provence.

Magalie Margotton s’occupera de la partie initiation à la calligraphie Elfique.

Le stage se déroulera dans un site verdoyant et calme à VALLIER (07), proche de LAMASTRE (07)

Contenu du stage: l’initiation se fera sur la base des recherches faites par E.Kloczco sur les écrits de John Ronald Reuel TOLKIEN, auteur Britannique du XX°siècle, à qui l’on doit, entre autres la trilogie du Seigneur de Anneaux.

Pour de plus amples informations, contactez Mme Magalie MARGOTTON, Directrice du projet.

Tel 04 75 39 84 09

empreintedhistoire@lapostenet

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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 10:42

Bien malin est celui qui saura me trouver une explication satisfaisante à l’apparition des Elfes. Force est de constater qu’il y autant d’explications sur leur origines qu’il y a de poils sur le menton d’un Troll. Et c’est peu dire... Pour être totalement franc je n’y comprends rien du tout !?...

 Bien, commençons par le commencement (en fait par ce que j’ai à peu près saisi). Tout d’abord certains expliquent que les Elfes sont issus du cadavre du Géant Ymir (mythologie scandinave). Or en cherchant bien voici ce que j’ai trouvé : Odin et ses frères utilisèrent la chair d’Ymir pour faire la terre, son sang servît à faire la mer et les lacs, ses cheveux, les arbres, et ses os formèrent les montagnes. Les rochers et les cailloux furent fait à partir de ses dents, de ses mâchoires et de ses os qui étaient cassés. Des asticots sortirent de son corps et les Dieux en firent des nains. A partir du crane d'Ymir, les enfants de Bor firent le ciel en le dressant sur quatre piliers élevés. Sous chaque coin, ils mirent un nain dont les noms étaient Nordri, Sudri, Austri et Oestri (Nord, Sud, Est et Ouest). Puis ils lancèrent son cerveau en l'air et firent les nuages. Super non ? C’est tout à fait appétissant tout ça... Bref, le plus important n’est pas là, le plus important c’est que on ne parle par d’Elfes mais de Nains !! Le cadavre d’Ymir n’a pas crée les Elfes, il a crée les Nains !!... Alors comment peut-on expliquer ça ? En fait c’est purement et simplement incompréhensible ! Aussi ai-je décidé de me procurer l’Edda Poétique, le recueil islandais datant du treizième siècle et rassemblant les contes de mythologie nordique... dès que je l’aurai lu je vous tiens au courant de l’origine des Elfes !

  Si on fait abstraction de l’explication de l’apparition des Elfes, on distingue néanmoins deux périodes. La période que j’appellerai « ancienne » ou « originelle », et la période « post-tolkienienne ». Dans la période « ancienne », voici ce qui est couramment admis sur les Elfes : ce sont des êtres petits et lumineux, ils sont généralement décrits comme intelligents, plus petits et plus fins que les hommes, bien que dotés d'une longévité exceptionnelle (plusieurs centaine d’années). Leurs oreilles sont censées être pointues, ce qui permettrait de les reconnaître sans ambiguïté. Ils sont enfin apparentés au petit peuple (Nains, Lutins...). Cette vision des Elfes est cependant loin de celle communément admise aujourd’hui et que l’on doit en grande partie à Tolkien (encore une fois...) dont l’œuvre a sensiblement influencé leur représentation. Ainsi dans la période « post-tolkienienne » les Elfes sont perçus comme des êtres de grande taille et avec une grande beauté, de même qu'ils ont un penchant pour la mélancolie et la nostalgie, cette idée que leur civilisation est en déclin face à celle de l'Homme. L’auteur aussi grandement contribué à leur association, pour ne pas dire symbiose, avec la nature. Depuis, cette vision a été reprise et largement véhiculée dans beaucoup d'œuvres littéraires (pour ne pas dire toutes !). Tous les auteurs de Fantasy (à quelques rares exceptions) ont repris la vision de Tolkien à leur compte et ont souligné le raffinement de la société elfique bien qu'en décadence ou en repli du monde, leur amour pour la nature et la forêt (milieu dans lequel ils seraient le plus à l'aise), et leur rivalité éternelle avec les Nains plus bourrus  (on se demande bien pourquoi il ne pourrait pas en être autrement ?!).

 Voilà pour l’explication de texte. Personnellement je pense qu’il serait salutaire de ne point suivre sans réfléchir les petits cailloux blancs laissés par Tolkien et de faire un peu évoluer la vision des Elfes. C’est en tout cas ce dont je vais m’employer dans mon manuscrit... 

 

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14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 00:00

 

Pour les amateurs : de superbes illustrations sur le thème de la Fantasy par de nombreux auteurs sur le site de la Fée dans la bouteille... (j'aime beaucoup ceux de Miss Gizmo).

http://www.lafeedanslabouteille.com/galeries.php

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 00:00

            Dans une caverne vivait un Troll. Il s’appelait Herkol. Loin d’être des plus ordinaires, Herkol avait préféré fuir la compagnie de ses congénères aux pratiques culinaires fort peu ragoûtantes. Il faut dire qu’il ne faisait, en fait, aucun cas des Elfes farcis, des rôtis de Nains et autres fricassés de Lutins. En vérité il détestait toute forme de violence, alors de là à manger un Lutin... Non ce qu’il aimait, lui, c’était les confitures. Parfaitement, les confitures ! Sa mère, en désespoir de cause, avait bien un jour essayé de lui préparer un délicieux mijoté d’Hommes aux petits oignons, mais ce fut peine perdue. Herkol ne voulut pas en entendre parler et décida même de partir vivre tout seul, loin de tous ces Trolls aux mœurs qu’il jugeait arriérées et inconvenantes. Aussi s’était-il trouvé un agréable petit logis isolé, au pied d’une colline entourée d’une immense et luxuriante forêt, où il pourrait vivre paisiblement et manger tout ce dont il avait envie. Et il ne s’en privait pas. Il passait ainsi la plupart de ses journées à cueillir des fruits ou à les faire cuir dans sa marmite pour les transformer en confitures. Ha les confitures, si délicieusement appétissantes ! Il avait pris l’habitude d’en remplir des petits pots de terre cuite qu’il fabriquait lui-même. C’est bien simple il en remplissait tout le temps, de sorte que ses placards et étagères et les moindres recoins de sa demeure en étaient remplis. Et il y en avait pour tous les goûts : framboises, fraises, châtaignes, prunes, et bien d’autres encore.

 Un jour qu’il se promenait dans la forêt il rencontra un Heurchon. Le petit animal, couvert de piquants, l’observait depuis un petit monticule de terre. Quand il remarqua sa présence, Herkol s’approcha pour le saluer aimablement. Vivre seul avait certes ses avantages mais il n’était pas mécontent de pouvoir rencontrer du monde de temps en temps afin de discuter de la pluie et du beau temps.

 -          Bien le bonjour ! Dit-il en arrivant devant le petit animal et sur un ton qui se voulait le plus gracieux possible.

             Le Heurchon, cependant, ne l’entendit pas de cette oreille et demeura mi terrifié, mi tétanisé. Il faut bien reconnaître que les Trolls n’avaient, en général, pas très bonne réputation et ne se gênaient pas pour croquer un ou deux Heurchons en guise de petit déjeuner.

 -          Allons, aurais-tu perdu ta langue petit Heurchon ? Plaisanta Herkol.

             Le Heurchon pensant sa dernière heure arrivée sentit ses membres défaillir et manqua de tomber de son petit monticule. Le Troll l’attrapa juste à temps et le déposa sur un tapis de feuille. Il lui versa alors quelques gouttes d’eau fraîche sur son museau pour le ranimer. Retrouvant ses esprits le Heurchon le regarda étonné.

 -          N’allez vous point me manger ? Demanda-t-il stupéfait.

 -          Te manger ? S’amusa le Troll. Allons donc, je préfère encore manger l’écorce d’un arbre, ça doit être moins indigeste !

             Et il rit de sa plaisanterie. Il rit si fort que le sol et les feuilles en tremblèrent. C’était tellement agréable de rire, pensa-t-il. Alors il regretta de ne pas rencontrer plus souvent du monde dans la forêt. Il regretta que les autres ait peur de lui. Il regretta de ne point avoir d’amis. Il y avait si longtemps qu’il était seul. Il observa le Heurchon et soupira. Alors il se saisit finalement de son sac et en sortit une fraise.

 -          Tiens, mange donc, dit-il en souriant, cela te fera du bien après toutes ces émotions ! Je me nomme Herkol, je vis non loin d‘ici. Et toi petit courageux, comment t’appelles tu ?

 -          Shepa ! Répondit le Heurchon.

 -          Ne sais tu donc pas comment tu t’appelles ?

 -          Mais si je le sais, répondit le Herchon étonné.

 -          Alors pourquoi ne le dis tu pas ?

 -          Shepa ! Répéta l’animal.

...

 

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:00

Le Lembas, qu’est-ce donc que le Lembas ? Je suis certain que les familiers de Tolkien savent naturellement de quoi il s’agit, mais force est de reconnaître que tout le monde ne passe pas son temps à lire et relire (et relire, et relire, pour les cas les plus pathologiques dont je fais parti) ce formidable, que dis-je, c’est extraordinaire chef d’œuvre de la littérature Fantasy (vous remarquerez je ne suis totalement pas objectif et en plus ça ne m’empêche absolument pas de dormir). Aussi, pour ceux qui se demanderaient de quoi nous parlons, j’ai repris là une explication fort claire et détaillée :

 "Je vais te donner autre chose, Cúthalion", dit Melian [...] Elle lui donna alors une provision de lembas, le pain de voyage des Elfes, enveloppés dans des feuilles d'argent et attachés par des liens dont les noeuds étaient scellés du sceau de la Reine , un cachet de cire blanche de la forme d'une fleur de Telperion". (Le Silmarillion - QUENTA SILMARILLION, Chapitre XXI)

 Le Lembas était le pain de voyage des Elfes. Présenté sous forme de galette, il était composé d'une farine légèrement dorée d'un côté et de couleur crème à l'intérieur. C'était un mets très nourrissant : un seul Lembas permettait aux Humains d'effectuer une marche d'une journée. Il devait donc être consommé au fur et à mesure des besoins et en petite quantité. Le Lembas se conservait longtemps s'il était bien protégé et s'il n'était pas brisé. Les Elfes avaient pour coutume de le placer dans une feuille d'arbre.

 Melian, reine de Doriath, en donna, entouré d'une feuille d'argent, à Beleg quand il partit à la recherche de Túrin. D'après la coutume des Elfes, il revenait à la Reine seule de garder ou de donner le Lembas. Il ne fut permis que très rarement aux autres peuples de la Terre du Milieu d'en manger. Túrin fut l'une des exceptions, ainsi que les membres de la Communauté , qui en reçurent de Galadriel avant de quitter la Lothlórien. De ce pain de voyage, malheureusement, aucune recette ne nous a été transmise.  http://www.tolkienfrance.net/encyclopedie/article.php?idArticle=205

 Voilà pour l’explication... et je vous imagine déjà en train de vous tortiller dans tous les sens en proférant  des « N’importe quoi ! » ou des « J’aurai tout entendu ! » à qui veut l’entendre. A ceci je ne répondrai qu’un mot... quenéni ! Et je m’en vais vous le prouver en vous communiquant la fameuse recette des Lembas (du moins l’adaptation qu’en ont fait certains érudits de l’art culinaire)... cela reste entre nous bien entendu !...

 Que sait-on ? On sait que les Lembas contiennent du miel, sont de couleur dorée a l’intérieur et ont une croûte brune dorée a l’extérieur. Elles sont fines et de forme régulière. Elles sont faites à partir du fruit de l’arbre de Mallorn, ici nous prendrons des oranges et de la pomme (à défaut de Mallorn !). Enfin ces galettes sont nourrissantes et se conservent, il y a donc de la farine et des oléagineux.


Voici donc l’adaptation que certains en ont faite :

-          100g de miel ; 3 œufs ; 1 cuillère à café de zestes d'orange ;  2 cuillères à café de fleur d oranger ;  30g d'amandes blanches ; 1/4 de tasse de beurre fondu ; 2 tasses de farine ; 1 moitié de pomme coupée en morceaux ; 1 pincée de sel

 Mettez les oeufs, le miel, le beurre, la fleur d'oranger, les morceaux de pommes et les amandes dans un mixeur. Mixez pendant 3 minutes. Ajoutez une tasse de farine et mixez encore 1 minute. Versez le tout dans un saladier et ajoutez la farine restante et le sel. Fouettez jusqu'a ce que le mélange soit homogène. Faites cuire sur une plaque métallique farinée et huilée 15 minutes à 200° jusqu'a ce qu'ils soient bien dorés. http://membres.lycos.fr/realmofheather/newpage1.html

 Et voilà... de délicieux (délicieuses) Lembas à déguster !   

 

 

  

  

  

  

  

  
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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:00

Le terme "copyright" désigne la notion de droit d'auteur dans la loi américaine (dans le Titre 17 du United States Code). Contrairement au droit d'auteur en vigueur en France, un dépôt est nécessaire afin de le faire valoir aux Etats-Unis. Les oeuvres ayant fait l'objet d'un dépôt de copyright peuvent ainsi afficher le symbole ©, suivi de l'année de publication, puis du nom de l'auteur (ou de la société ayant déposé le copyright).

Ce formalisme est autorisé en France dans la mesure où il s'applique à toute oeuvre soumise au droit d'auteur. Les mentions "Copyright", © ou "Tous droits réservés" n'ont pas pour autant d'influence sur la protection de l'oeuvre et permettent uniquement de jouer un rôle informatif vis-à-vis du public. D'autre part l'absence de sigle ou de mention du droit d'auteur ne signifie pas que l'oeuvre n'est pas protégée ! Ainsi tous les éléments présents sur Internet (images, vidéos, extraits sonores, textes) sont soumis de facto au droit d'auteur, même si leur accès est libre et gratuit et qu'aucune mention ne précise qu'ils sont protégés !

Article L. 111-1 du Code de la propriété intellectuelle :
L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d'ordre intellectuel et moral, ainsi que des attributs d'ordre patrimonial [...].

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 00:00

Extrait :

          "Et tandis qu’elle parlait, le cheval arriva à la hauteur du petit groupe et s’arrêta près d’elle. Elle lui caressa l’encolure comme pour lui signifier la bienvenue puis grimpa dessus d’un bond agile. Elle se tourna ensuite vers ses compagnons, son visage était triste et des larmes coulaient sur ses joues.

 

- Ayez foi en moi comme j’ai foi en vous, leur dit-elle, et ne soyez point effrayés lorsque nous nous rencontrerons à nouveau sur les terres désolées car, en vérité je vous le dis, vous êtes à présent mes amis.

 

            Alors elle leur adressa un dernier signe de la main et leur sourit, avant de partir au galop, sans se retourner, en direction de l’est."

 

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